Mile High – Liz Tomforde (Windy City #1)

đŸ·ïž Mile High (Windy CityTome 1)

đŸ·ïž Liz Tomforde

đŸ·ïž Edition : Chatterley

đŸ·ïž Pages 774

đŸ·ïž Stevie (V) et Zanders (Z)

📖 Mon avis en bref : Une lecture sympa mais qui ne m’a pas emballĂ©e car trop de longueurs et de paragraphes rĂ©pĂ©titifs 

⭐⭐⭐

đŸŒ¶ïžđŸŒ¶ïžđŸŒ¶ïž

Ce n’est pas une lecture qui m’a emballĂ©e autant que je le pensais. 

La plume est sympa et merci nous avons une traduction impeccable ! 

Le livre fait  plus de 700 pages et sur certains romans ça se ressent et d’autres pas, ici je les ai senties passer. Beaucoup de longueurs, de rĂ©pĂ©titions, de « je tourne en rond », de je radote, de je réécris des choses que le lecteur/trice a dĂ©jĂ  bien intĂ©grĂ©es puisque je les ai dĂ©jĂ  Ă©crites 5 ou 6 fois
 

Le premier tiers du livre je n’avançais pas et j’ai mĂȘme songĂ© Ă  abandonner, mais la plume a sauvĂ© ce qu’il me restait de volontĂ©. 

La premiĂšre partie est cyclique : avion / match / domicile. Mais on a beaucoup de avion avion avion. Stevie, l’hĂ©roĂŻne est hĂŽtesse de l’air, donc normal direz-vous, ouais sauf qu’au bout d’un moment on en a marre de ses consignes de sĂ©curitĂ© et de ce schĂ©ma rĂ©pĂ©titif, des rĂ©parties et dialogues identiques. 

Sur les premiers 40% du livre, ce rythme cyclique m’a chagrinĂ©e. Et aussi le pantalon de survĂȘtement usagĂ© de Stevie qui devient un personnage Ă  part entiĂšre de l’histoire. Le truc pourrait mĂȘme avoir son propre site internet tellement ça tourne en boucle dessus. 

Ça et le mĂ©tal des bagues que porte Zanders, le hĂ©ros, et le mĂ©tal des bagues contre la peau de Stevie ça revient du dĂ©but Ă  la fin. 

Les personnages sont intĂ©ressants mais desservis par la longueur de l’histoire :

Stevie est une jeune femme mĂ©tisse, une +size woman (j’aime bien l’expression amĂ©ricaine car ça implique un truc en plus et ça valorise le corps de la femme Ă  mon sens) pas Ă  l’aise dans sa peau, qui a vĂ©cu une histoire chaotique et dĂ©sastreuse avec un homme. Donc vraiment interessante et qui pourrait permettre de s’identifier. 

De l’autre cĂŽtĂ© il y a Zanders, le joueur de hockey grand, fort, sexy bĂąti comme un dieu (et avec des bagues n’oublions pas đŸ€ŁđŸ€Ł) II a aussi un passĂ© douloureux et il affiche pour les mĂ©dias et le public une image qui n’est pas la sienne. 

L’évolution de ces deux personnages en fin d’histoire est nette, la progression est faite et je n’ai rien Ă  dire. Mais je n’ai pas accrochĂ© Ă  leur histoire qui m’a paru par moments plus sexuelle que sentimentale. Il y a de grandes chances que ce soit lĂ  la volontĂ© de l’auteur  : la passion qui laisse la place aux sentiments ensuite et c’est trĂšs bien mais je n’ai pas adhĂ©rĂ©. Et les sentiments ne semblaient ĂȘtre lĂ  que parce que le sexe Ă©tait gĂ©nial. Pourquoi pas mais lĂ  aussi ça ne me convenait pas. Le sexe m’a paru mĂ©canique et convenu, et mĂȘme si ces passages Ă©rotiques Ă©taient bien Ă©crits ça ne gĂȘnerait aucune rĂ©action en moi, j’étais vraiment passive tout le long et honnĂȘtement je le regrette car je me suis accrochĂ©e, j’ai cherchĂ© les points positifs, mais quand ça ne matche pas on ne peut pas forcer le destin. 

Et La banalitĂ© des compliments qu’ils vont se faire Ă  mi roman pour justifier de leur attirance est un peu facile et sans intĂ©rĂȘt selon moi. 

AprĂšs ça se laisse lire et honnĂȘtement sur la fin de ma lecture (puisque tout d’un coup tout se dĂ©bloque en quelques pages mais il en a fallu 500 pour y arriver) j’ai pensĂ© que je pouvais tourner le nĂ©gatif en positif dire que leur relation n’est pas une psychothĂ©rapie mais qu’ils se font du bien l’un l’autre.

Dire que ce n’est pas que le sexe qui les unit mais que c’est le sexe qui les fait se dĂ©couvrir. 

On pouvait voir ce roman de bien des façons tout dĂ©pendait du lecteur/trice qui le tenait entre ses mains. 

Donc soit je n’étais pas dans le bon mood, soit je n’étais pas la lectrice visĂ©e, ou les deux. Dommage. 

Lucie

« Tu veux ĂȘtre choisie en premier ? Moi aussi, alors choisis-moi »
Le hockey Ă  Chicago ne serait pas ce qu’il est sans Evan Zanders, le joueur que tout le monde adore dĂ©tester. Il connaĂźt son rĂŽle et le joue bien. En fait, il aime beaucoup passer la majeure partie de son temps de jeu sur le banc des pĂ©nalitĂ©s avant de quitter l’arĂšne avec une nouvelle fille Ă  son bras. Ce qu’il n’aime pas, c’est la nouvelle hĂŽtesse de l’air de l’avion privĂ© de l’Ă©quipe, qui ne semble pas du tout impressionnĂ©e par lui.
Stevie Shay est hĂŽtesse depuis plusieurs annĂ©es. Elle pensait avoir tout vu, mais lorsque son nouveau poste l’amĂšne Ă  travailler pour la saison avec la diva la plus Ă©goĂŻste et la plus imbue d’elle-mĂȘme de la NHL, elle commence Ă  tout remettre en question. Y compris la promesse qu’elle s’Ă©tait faite de ne plus jamais sortir avec un athlĂšte… mĂȘme le plus attirant.
Chaque dĂ©placement brouille un peu plus les lignes entre Zanders et Stevie. Stevie commence Ă  croire qu’il n’est pas juste ce que les mĂ©dias disent de lui. Et Zanders n’arrive pas Ă  savoir s’il appuie sur le bouton d’appel de l’hĂŽtesse juste pour la pousser Ă  bout ou s’il y a plus que ça.

Laisser un commentaire