À ne lire que si vous avez le cœur et l’estomac bien accrochés.
Je ne sais même pas comment donner mon avis sur ce roman et ça m’arrive rarement. Souvent quand je lis, arrivée à 50% du livre, j’ai déjà les premiers mots de ma chronique en tête ! Mais là, je veux faire quelque chose de propre sans dénigrer, même si certaines situations m’ont fait lever les yeux au ciel.
Bon, commençons. Tout d’abord, si vous avez loupé l’info c’est une dark romance on va dire niveau 3,5/5 sur mon échelle personnelle. Et la liste que vous trouvez en guise d’avertissement au début du livre vous met déjà dans le bain.
Deux chroniques ici dans un intervalle si court, mais que se passe-t-il ? 🤣
Il se passe que j’arrive à lire de nouveau à un bon rythme et ça c’est rassurant, satisfaisant et apaisant !
Aujourd’hui, je vous propose une chronique du roman de Lyn Amélia Lewis sorti le le 10 octobre 2022, dans le cadre du partenariat service presse. J’ai eu la chance de faire partie des sélectionnées et je l’en remercie vivement.
Pitch de départ :
L’avenir d’Elyas est déjà tout tracé. À vingt-cinq ans, c’est l’un des meilleurs partis de la capitale. En bon héritier modèle, il se prépare à prendre la relève de son père, à la tête de l’entreprise familiale. Rien ne peut perturber son quotidien studieux, sauf peut-être ce rendez-vous avec une escort, offert par ses amis dans le but de lui changer les idées.
Après avoir survécu à une relation destructrice, Romy vit désormais dans son cocon parisien, entourée de bibliothèques débordantes de livres. Étudiante le jour, escort la nuit, elle se prouve à chaque rendez-vous qu’on ne l’a pas brisée. Elle se protège derrière une fausse identité et garde ses relations strictement professionnelles. Jusqu’à croiser la route de ce mec un peu trop sérieux et beau comme un dieu.
Lorsque les parents d’Elyas décident de planifier son mariage sans son accord, ce dernier fomente un plan parfait pour y échapper. S’il payait Romy pour devenir sa petite amie ? Simple, efficace, infaillible… ou presque.
J’ai lu ce roman durant mes congés et j’ai préféré en faire un retour ici plutôt que sur Instagram, comme j’ai eu tendance à le faire ces derniers temps, car j’avais beaucoup à dire.
Contrat avec un salaud est typiquement le genre de livre qui peut susciter le débat. Il est dans la catégorie de ces romans pour lesquels ça passe ou ça casse. De mon côté, ça a frôlé la casse ! Je vous explique tout cela plus loin.
Pitch de départ : Amy a le don d’attirer les salauds : ses histoires d’amour finissent toutes en catastrophe. La dernière en date, une aventure avec son patron marié, lui a coûté son job. Désormais célibataire et au chômage, la jeune femme jure qu’on ne l’y reprendra plus… même si elle apprécie quelques plaisirs, comme ce soir-là au bar, où elle laisse un homme assez cavalier l’approcher.
Lorsque, le lendemain, on l’appelle pour un emploi auquel elle a postulé, elle est enchantée et accepte de rencontrer la personne pour qui elle sera amenée à travailler : un artiste spécialisé dans la fabrication de décors de scène et qui a besoin d’une assistante. Amy est loin d’imaginer qu’elle va se retrouver devant l’inconnu du bar. Lui se souvient parfaitement d’elle, et il est bien décidé non seulement à lui confier ce poste, mais aussi à réitérer ses exploits – sans engagement, bien sûr. Oli sera-t-il le prochain salaud à gâcher la vie d’Amy, ou se révélera-t-il bien meilleur qu’il n’y paraît au premier abord… ?
D’abord très emballée par cette lecture : une belle couverture, un résumé intriguant et l’annonce d’une romance par un homme.
M. Biasotto : 12 points (imaginer la voix de l’Eurovision).
Cette lecture a été partagée avec Mélanie, addict de romances tout comme moi.
J’ai commencé ma lecture, tout allait bien. Et puis, ma lecture a été soudain très mouvementée. Comme dans un océan déchainé, j’oscillais entre noyade et reprise de ma respiration. Je vous explique tout, arguments détaillés à la clé. Je rappelle que ne pas aimer ça arrive, le monde ne s’arrête pas de tourner pour autant.