J’écris coup de foudre, car coup de cœur était bien trop faible pour exprimer le pur bonheur, l’extase livresque que m’a procuré ce fabuleux, grandiose roman.
Même si elle ne lira jamais ces pauvres et maladroites lignes, je remercie Diana Gabaldon pour cet ouvrage, pour ces mots, cette plongée incroyable dans les Highlands du XVIIIème.
A l’heure où j’écris ces lignes, je suis déjà plongée dans le 2ème volume.
A l’heure où j’écris ces lignes, je sais que je vais être marquée à vie par cette histoire et maintenant que j’ai commencé je ne vois pas comment je pourrais m’arrêter. Une fois le livre fermé, je le regarde et je vous assure qu’il m’appelle, je l’entends m’appeler comme si en l’ouvrant j’allais moi aussi être projetée dans le passé et me retrouver au milieu de ces guerriers en kilt.